3. « Les médias sociaux et vous » : les résultats de notre sondage
Transcription
Un balado de 37e avenue.
La coudon, ça fait, ça fait un mois que j'ai cessé de payer pour les leçons d'arts martiaux mixtes de Mark Zuckerberg. Ça fait un mois que j'ai supprimé officiellement mon compte Facebook. J'ai quand même traîné là pendant 16 ans, des centaines de publications que j'ai fait des milliers.
Est-ce que j'ai un sevrage à faire ? Bon, je vous avoue.
Fois, c'est arrivé à quelques reprises, je vois quelque chose dans l'actualité qui me fait réagir. J'aurais eu envie d'en faire un post sur Facebook, d'en faire une publication, de dire au monde que je m'en sacs tue.
De l'affaire Taylor Swift et Travis Kelsey.
J'aurais aimé ça dire ça sur Facebook, mais à m'a démangé une couple de fois, puis ça passe.
Après un mois, j'ai presque plus envie de donner une opinion que personne m'a demandé de toute façon à propos d'un sujet qui est pas du tout important au demeurant.
Bien sûr, j'ai perdu contact avec des gens.
Je pense à des vieux collègues de cégep d'il y a 25 ans.
Avec qui je partage.
Plus grand chose de toute façon d'autres.
Que le fait.
Qu'on a été au même cégep il y a 25 ans, des collègues de travail aussi d'il y a 15 ans. Je vais vous perdre de vue aussi. Facebook a fait en sorte qu'on perd plus personne de vue. C'est un phénomène qui est arrivé ça avec les médias sociaux et là.
Je retrouve ce.
Qu'on avait, il me semble, d'oublier quelqu'un.
De le perdre de vue, puis de le retrouver à un moment de notre.
Par hasard.
Au coin d'une rue, dans un café, au restaurant, ça fait des années qu'on s'est.
Vu ça ajoute du piquant à notre quotidien, il me semble de d'avoir cette perspective de peut-être rencontrer quelqu'un qu'on a perdu de vue dans un lieu public, chose que Facebook phénomène que Facebook a beaucoup amoindri.
Parce que je me retrouve à avoir des nouvelles assez régulières d'à peu près tout le monde que j'ai croisé de près ou de loin dans ma vie depuis les 16 dernières années, les amis Facebook, c'est une catégorie de gens qui s'est ajoutée à nos catégories de relations. Tout dépendamment de la personne, ça peut être soit un ami très proche.
Soit une vague connaissance, mais dans Facebook, ce sont tous des amis Facebook ayant à peu près tous la même importance dans dans ton fil de nouvelles.
Je disais un truc qui disait que notre cerveau aurait évolué pour avoir la capacité à se préoccuper de.
Plus de.
50 personnes pendant ces 1000000 d'années, on a été capable de se préoccuper des gens dans notre tribu. Cinquantaine, trentaine de personnes qu'on côtoie quotidiennement.
Facebook a un peu changé cette affaire là, on est rendu.
Se préoccupe de gens.
Qui sont pas dans notre quotidien, qui n'ont pas de lien avec nous ou que on va faire des débats avec ces gens-là, on va être fâché contre ces gens-là parce qu'on va pas, on va avoir perdu un argument, une discussion.
On va attaquer personnellement de ces personnes-là, c'est quand même assez débile et je pense pas que notre cerveau soit fait pour gérer tout ça.
Depuis un mois, les gens qui me préoccupent vraiment, ceux de ma tribu, continuent à avoir de leurs nouvelles. Mon père a fêté ses 70 ans, ma mère est en Argentine, elle m'a envoyé des photos de ce qu'elle a mangé là-bas par courriel. Mon frère a une nouvelle blonde, ça compte pour moi, ça. Puis je le sais.
Un peu le bilan que je fais de ce mois sans Facebook, qui va se continuer parce que j'ai pas l'intention de revenir sur cette plateforme là. Ça fait aussi un an.
Que ce bougre.
D'Elon Musk a racheté Twitter pour en faire son Vanity Project.
Et ces ces derniers mois, il a investi quand même beaucoup d'efforts pour faire fuir ces annonceurs, ses utilisateurs, ses employés. Ah, c'est vrai qu'il est passé quand même de je pense. C'est 7500 employés dans Twitter et 12 mois plus tard, il est rendu à 1500 employés.
Bon, Donald Trump est revenu sur la plateforme et ça 13% de ce que j'ai lu, 13% de moins de gens se se.
Sont actifs quotidiennement sur Twitter. Comparativement, il y a un an.
Je lisais un article dans the Atlantic qui mesurait un peu l'ampleur de du fail de de de Twitter sous l'administration Musk et le site aurait perdu les 2/3 de sa valeur. La plateforme aurait perdu les 2/3 de sa valeur.
Et même il.
Y en a qui ?
Que c'est beaucoup plus que ça.
Faut pas oublier qu'Elon Musk selon plusieurs, c'est un génie hein, un génie des affaires.
J'ai l'impression que ce qu'on voit avec Twitter je je prends pas la peine d'appeler ça x là parce que ça va pas durer assez longtemps cette plateforme-là pour pour qu'on retienne un nouveau donc.
Twitter donc moi j'ai l'impression qu'il en Musk est en train de faire est en train de nous préparer un legs.
J'ai l'impression qu'il a décidé que ça allait être sa contribution pour le progrès social de faire en sorte d'éliminer de façon douloureuse et humiliante un média social comme Twitter.
Pour faire en sorte, c'est génial.
Faut penser le le gars, c'est un génie là.
Il doit être en train de se dire si j'achète Twitter juste pour le fermer, il va avoir 12 autres Twitter qui vont s'ouvrir.
C'est vrai, mais si j'achète Twitter ?
Pour le détruire à petit feu de façon extrêmement humiliante. Pour moi, ça va couper les ailes à toutes les autres petites entreprises qui vont avoir le goût de prendre la place laissée vacante par Twitter. Mais c'est peut-être ça qui est en train de faire.
En fait le spectacle qui nous offre quotidiennement, en prenant des décisions épouvantables pour la santé de de ce média social-là. En fait, c'est peut-être, ça fait peut-être partie d'un grand plan qui est de débarrasser le monde à jamais d'une plateforme incontrôlable comme Twitter.
Alors c'était ma théorie du complot du jour.
Si vous voulez la la partager la partagez-la sur Twitter, tu sais, ce sera peut-être une autre belle occasion d'utiliser cette plateforme de ***** pour partager de la désinformation. Donc voilà, je vous offre cette théorie du complot, chers amis, mais entrons dans le vif du sujet.
Steve pro micro du balado la nouvelle place, épisode 3.
Déjà rendu à l'épisode 3, la nouvelle place et là j'accueille sans doute de nombreux nouveaux auditeurs auditrices parce.
Que on a eu un sondage il y a pas longtemps, puis il y a plein de gens qui se sentent interpellés par ce projet là.
Et qui risque d'écouter cet épisode, d'autant plus que cet épisode va parler des résultats du sondage dont je viens de vous parler. Donc bienvenue à ces nouveaux auditeurs auditrices, qu'est-ce que c'est ? La nouvelle place ? C'est un projet qui veut mettre notre humble brique à l'édifice de notre souveraineté numérique. C'est un balado qui documente les efforts pour créer un média social québécois géré sous la forme d'une coopérative, un média social qui est clairement en réaction. On veut.
On veut offrir une alternative.
Aux grands médias sociaux.
Privé et donc c'est c'est ça le la nouvelle place, donc on est à l'épisode 3 dans les dernières semaines, c'est passé pas.
Pour, on a quand même bien avancé dans ce projet là, on a une présentation du projet. Je vais pouvoir vous partager ça, c'est vous abonner à l'Infolettre, vous allez avoir un lien vers la présentation du projet. Officiellement, on.
De route pour les prochaines étapes, on est en pleine campagne de recrutement pour former un premier comité de.
Donc on va.
En parler un petit peu, tantôt avec mon invité.
Et dans les dernières semaines, on a publié un sondage qui a été ma foi fort populaire, 1000.
21 Répondeurs Répondantes qui ont répondu à ce sondage-là qui avaient l'ambition de un peu en fait les questions portaient sur votre utilisation des médias sociaux, est-ce que vous avez quels médias sociaux vous utilisez ? Pour quelle raison ? Et cetera. J'avais promis de partager les résultats parce que toute cette démarche de création d'un média social québécois.
Est ouverte et transparente et je le répète, tout ce qu'on fait.
Et public, et je tiens à ce que ce soit comme ça, parce que ce n'est pas un projet créé derrière des portes closes. On est en train de créer une place publique virtuelle. La moindre des choses, c'est que tout le monde puisse y contribuer, y mettre son son grain de sel ou ne serait-ce que voir comment cette place publique virtuelle a été créée fonctionne les règles qui la régissent, et cetera. Donc c'est la raison pour laquelle toute cette démarche est complètement.
Parent, donc, pour revenir au sondage dans cet épisode, on va décortiquer les résultats du sondage et je vais le faire avec un des 3 instigateurs de ce projet de nouvelle place, c'est Patrick Pierrat et ensemble on a regardé les résultats de ce sondage ensemble, puis on va vous faire une analyse de tout ceci, comment est-ce que vous utilisez les médias ?
C'est de ça.
Parle aujourd'hui.
Je reçois donc aujourd'hui Patrick Pierrat, qui est l'éditeur d'info. Bref, vous connaissez peut être pas ça, c'est une infolettre d'actualité quotidienne. C'est gratuit avec un axe affaires entrepreneuriat. Et il est aussi animateur du Balado INFO. Bref, c'est un balado d'actualité quotidienne de 5 Min Balado pour gens précis, je dirais ça. Donc Bonjour Patrick.
Bonjour Patrick, on se connaît depuis de nombreuses années. Pour la petite histoire, tu as été mon premier patron. Ben en maintenant ma.
Vie, il y a de cela va être.
5 ans à l'époque où tu dirigeais branchez-vous, qui était, je dirais, un des premiers portails d'informations web au Québec, sinon le premier corrige, moi non.
C'est ça ? Bah c'était bah y.
C'est le top.
Pour la créer, hein ? Bon Ben voilà.
Eu y a eu d'autres sites, un peu du même genre, mais effectivement oui, on a été et puis on a été le premier à se présenter comme un média.
Sur Internet au Québec.
Donc moi j'ai travaillé là chez Branchez vous pendant.
Y a longtemps, tu as été aussi associé de 37e avenue, tu l'es encore associé de l'Agence que je dirige, 37e avenue, et tu as gentiment, je dirais accepté de rejoindre notre petit groupe d'instigateurs de ce projet de nouvelles places publiques virtuelles et on va sûrement se parler assez régulièrement parce que tu vas suivre ce projet là avec nous.
Et ce qu'on a fait il y a quelques semaines, c'est un sondage qui servait à prendre un peu le pouls de comment est ce que les gens utilisent les médias sociaux aujourd'hui ? Est ce que notre idée qu'on a en tête fonctionne, c'est à dire est ce qu'il y a un besoin dans le fond essentiellement pour pour un nouveau média social ? Est ce qu'il y a une envie, un appétit pour ça ? Et donc le sondage.
Été mené.
Du 11 au 18 octobre dernier, c'est tout.
Ça et 1021 personnes ont répondu à l'appel, ce qui est pas pire je trouve. Pour un petit sondage qui n'est pas soutenu par aucune firme de de sondage de renom, on peut pas dire que c'est un sondage scientifique, mais quand même. Je trouve qu'on a un un bon échantillon de la de la population et on a pondéré aussi les résultats parce qu'on avait petite surreprésentation de journalistes et de gens de médias, mais aussi de personnes un peu plus âgées. Donc on a fait une pondération là en fonction de.
De l'âge et puis.
Bien, écoute, on va Patrick, on va passer à travers les résultats de ce sondage. Une grande question qu'on a posé d'abord dans le sondage, c'est à quelle fréquence consultez-vous vos médias sociaux ?
Bien ce qu'on voit, c'est à quel point les médias sociaux sont omniprésents dans nos vies, puisque non seulement presque tout le monde est dessus, mais en plus on y est toute la journée, ou en tout cas plusieurs fois par.
En cas du masque.
Bonjour quatre-vingt-seize pour 100 des gens qui ont répondu ont dit qu'ils y allaient au moins quelque fois par jour. Certains, il y avait un autre choix de réponse qui était plusieurs fois par jour et en fait on a un gros quart des répondants qui vont au moins 10 fois par jour.
Donc c'est vraiment une utilisation très forte continue.
On voit que les plus jeunes sont surreprésentés. Enfin, quand je dis plus jeunes pour la suite du sondage, on va parler de jeunes en dessous de 45 ans et de et de 45 ans et plus. Faut dire que c'est assez proche de l'âge médian de la population du Québec qui, l'an dernier, était d'un peu plus de 43 ans. Donc ça fait un un bon point de de de séparation. Donc il y a il y a plus du tiers, des moins de 45 ans qui disent qu'ils consultent au moins 10 fois par jour les médias sociaux.
Réseaux sociaux, il y a quand même une différence entre.
2, 2.
D'âge, mais c'est pas aussi marqué que dans d'autres questions qu'on qu'on a plus loin, mais effectivement donc ça il y a pas de grande surprise.
Tout le monde.
Est sur les médias sociaux, on apprend.
De grandes choses là.
On on, on peut peut-être quand même juste tempérer un tout petit peu. C'est sûr que quand tu as dit que on n'est pas un sondage tout à fait scientifique, c'est sûr qu'il y a un petit biais par le fait que bon, Ben c'était un sondage à propos des médias sociaux en ligne. Donc évidemment, on a sans doute attiré un peu plus l'attention de gens qui ont une certaine utilisation et un certain intérêt des médias sociaux. Mais cependant ça reste très très.
Fort comme tout le monde est sur les médias sociaux, on leur a demandé quel média social vous utilisez sur une base quotidienne ?
Et là, ce qui est vraiment impressionnant.
C'est la domination de Facebook, on sait que Facebook est le plus gros, le plus connu.
Mais quand même, c'est 90% des répondants qui disent l'utiliser sur une base quotidienne et là on voit très peu de différences, en tout cas entre les 2 grands groupes d'âge chez les vraiment plus jeunes, ça, ça, ça baisse davantage, mais mais tout le monde est sur Facebook ou.
Peu près.
Et ça, c'est c'est impressionnant à quel point Facebook le site domine et je je pense que le le le c'est particulièrement fort au Québec, Facebook est est fort. Beaucoup de pays occidentaux à travers le monde, mais. Mais les québécois se sont vraiment appropriés Facebook.
On parle beaucoup de tik tok dans les médias, faut se s'intéresser à Tik Tok. Il y a plein.
Choses bon ça.
21, 21% chez les.
Moins de 44 ans, 7% chez les 45 et 60 à 65 ans et plus là donc chez les 45 ans et plus. Donc là il y a une grosse grosse différence générationnelle, moyenne pondérée pour tik tok, c'est 14%.
Alors effectivement, c'est moins que les autres chiffres cependant qu'on a qu'on a d'autres sources, mais mais effectivement.
Ça, ça, ça.
Ça reste un usage relativement spécialisé en termes.
Pour l'instant et donc tik tok n'est pas enfin n'apparaît pas dans notre sondage comme aussi fort qu'on aurait pu le penser parce que ceux qui arrivent en 2e et 3e, C'est Instagram et Youtube qui sont les 2 autres vraiment poids lourds de de de la consultation dans les 2 cas c'est pas très loin de la moitié des gens qui disent l'utiliser sur une base quotidienne. Donc entre 40 et 50% avec là aussi une différence générationnelle mais qui est surtout marquée.
Pour Instagram, c'est plus.
Oui, 2/3 des moins de 45 ans qui disent d'utiliser.
Tous les jours, donc c'est vraiment on voit là le phénomène qui est que au sein de Méta Instagram est en voie de rattraper et peut être un jour dépassé Facebook.
Bon Threads n'est pas encore en train de rattraper Twitter ou X parce que selon notre sondage, on l'avait inclus dans les choix de réponse. Threads qui est la réponse de méta à à X Twitter 2 pour.
Pour l'instant, donc, on est.
Et pour.
Et et, et c'est quand même aussi intéressant de noter que quand même des des, des, des réseaux dont on parle un peu moins souvent ou qui ont la R bah X on en parle souvent mais mais c'est quand même 20% c'est non négligeable. Bon, avec probablement peut-être une petite surreprésentation des gens du du secteur des médias, mais mais mais quand même. Et puis LinkedIn, LinkedIn 39%. Les gens utilisent de plus en plus LinkedIn, ils l'utilisent alors aussi évidemment pour des raisons professionnelles d'abord et avant tout ou exclusivement.
Mais c'est un réseau qu'il ne faut pas oublier, qui appartient lui aussi à une grande.
Microsoft et qui va dépasser je pense si ce n'est pas déjà fait le milliard d'utilisateurs. J'avais j'ai lu un article qui est passé là il y a quelques semaines là que oui il y a, il y a une recrudescence de LinkedIn et puis ça devrait arriver là à un milliard d'utilisateurs. Qu'est ce qu'on fait sur ces médias sociaux ? On sait lesquels, on consulte, mais qu'est ce qu'on fait dessus ? On coche, on a demandé cocher les utilisations que vous faites généralement des médias sociaux et là on a plusieurs réponses.
Oui, ce qui est intéressant de voir évidemment ça peut paraître une évidence, mais c'est quand même de penser que même si ce sont des médias sociaux où on peut faire des choses.
Bah la première, les premières utilisations sont des utilisations, je dirais passives.
Au sens où.
Bonjour, on consulte, on regarde, on s'informe de ses amis, de ce qui se passe en dehors de chez nous, on regarde, on, on, on, on, on.
Et donc ce qui arrive en premier, bah c'est consulter les publications de proches que je suis, les familles, amis, collègues. 80.
1% et ça c'est très cohérent avec le fait que Facebook est celui qui a l'utilisation quotidienne la plus forte parce que c'est sans doute le média ou un des médias qui correspond le mieux à cette utilisation. Là. Après ça, on a consulté les publications des groupes et des pages que je suis à 78% me divertir, m'inspirer 75%, consulter les publications que je suis à 60%.
Puis après ça, on passe en dessous de 50% et ça change un peu puisque là ce sont des choses non plus qu'on consulte.
Qu'on fait donc acheter ou vendre des articles, partager de l'information auprès de ma communauté, entrer en contact avec les personnes pour mon travail. Là je suis en train de les lire en fait, dans l'ordre décroissant de de mentions comme utilisation régulière, faire la promotion de mon expertise de mon entreprise, de mes créations. Donc si correspond particulièrement bien à LinkedIn, partager mes points de vue.
Chercher un emploi ou des contrats.
Je note, j'ai été surpris.
Par partager mes points de vue, on avait l'impression que c'était une utilisation majeure des médias sociaux et non, on est à 24%. Allô ?
Alors c'est probablement parce que ce champ, ce champ, parce que c'est, c'est d'en partager les points de vue que viennent les choses, des choses qui sont saillantes et qui créent du trouble ou dont on parle et dont on parle dans les médias.
Toute, toutes, toutes les les décisions de de X ou les demandes qu'on fait à X et à Meta pour faire pour modérer le contenu, pour pour empêcher des discours de haine, et cetera. Tous ces éléments là en fait, ce qu'on réalise, c'est que assez peu. Enfin une, c'est vraiment une minorité de gens qui va sur les médias sociaux ou qui le voient d'abord comme une façon de partager des opinions. Ça n'est pas la première chose que cherche la grande majorité des des utilisateurs.
Dans le dans le média social qu'on essaie de construire.
De garder ça en tête, je trouve ça intéressant de se dire bien, on s'adresse quand même à.
Essentiellement, veulent consulter des contenus, lire des contenus. Peut-être que de d'orienter toute la plateforme sur comment interagir, partager, c'est bien, mais c'est peut-être pas la chose la plus importante.
Et c'est aussi parce que là on fait un sondage sur les médias sociaux, il y a aussi des des choses qui sont un peu périphériques aux médias sociaux, comme les messageries.
Qui qu'on a pas qu'on n'a pas mesuré parce que ça sortait un peu de de du champ, mais qui servent aussi d'avantage à toutes ces interactions.
Entre gens qui sont importantes, hein, qui qui jouent un rôle, mais c'est sûr que d'autant plus que. Bah toute la réflexion que l'on a par rapport à à ce projet de de nouvelles places ou de nouveaux médias sociales est quand même un peu lié. Enfin lié à un déclencheur qui était la décision de l'état de de de de supprimer le contenu des médias de sa plateforme, c'est sûr.
C'est sûr que on est davantage dans une optique de.
Promotion de contenu de présentation de contenu et de ce point de vue là, les résultats du sondage nous nous confortent d'une certaine façon.
C'est bien, on posait aux gens, est ce que vous avez d'autres ? D'autres utilisations des médias sociaux ? Et puis on nous a donné plein de raisons dont 2 fois c'est arrivé à communiquer avec mon groupe de chorale. Ça c'était toi ça Patrick.
Ah non, même pas, même pas.
Parce que Patrick, vous savez pas me fait partie d'une chorale et c'est génial je pense. C'est la chorale de l'orchestre métropolitain, c'est ça ? Ouais.
C'est le cœur métropolitain.
Voilà, alors c'est dit.
Prochaine question au cours.
De la dernière année, est-ce que votre utilisation des médias sociaux a augmenté, baissé ou resté la même ? Là, on voulait vraiment savoir, est-ce que les gens sont plus souvent sur les médias sociaux moins souvent ?
Et Ben c'est très stable, c'est à dire que il y a plus de la moitié. 57% des gens qui disent que c'est resté la même.
Ouais alors il y a une minorité importante de gens qui disent que ça, que ça a changé et.
Il y en a un peu plus qui disent que ils ont diminué leur utilisation, mais il y en a quand même une proportion assez importante qui disent qu'ils ont augmenté, donc on a 24% de gens qui disent qu'ils l'ont diminué et 18% qui disent qu'ils l'ont augmenté. Alors ça fait un un solde de 6%.
De gens, donc, où il y a plus de gens qui ont dit qu'ils avaient diminué qu'augmenter, donc ça semble être une tendance à la baisse et à l'érosion. Mais enfin, elle est légère, elle est en tout cas plus légère que ce que le traitement, je dirais médiatique, du monde des médias sociaux depuis un an, 2 ans avec quand même une couverture médiatique des médias sociaux qu'il faut le lire est extrêmement négative.
Très légère.
Je veux dire ce ce même sans vouloir défendre les, les, les, les, les entreprises de médias sociaux, c'est à dire clairement depuis un an, 2 ans, la couverture des journalistes de toutes sortes éditoriaux, reportages, enquêtes. On entend parler que des travers et des problèmes des médias sociaux. Eh Ben ça semble pas avoir un impact si fort que ça. Pour l'instant, les gens y restent très attachés.
Bon espérerons que ça va continuer une tendance baissière, ça c'est mon, c'est mon rêve.
Bon, il est pas rendu.
Pour l'instant effectivement, ça on est, on est plus dans la.
Mais la lune de miel est terminée, il y a, on sent quand même que je je reprends un peu l'exemple de Threads. Tu sais, il y a quelques années, si un nouveau média social de méta était sorti, ça aurait fait l'événement. Le Buzz, c'est un peu tombé. Je veux pas dire dans l'oubli là, mais ça a pas eu vraiment le rayonnement qu'on aurait imaginé. Les gens ne se sont pas rués en masse vers ce média social là.
On, on sent qu'il y a.
Une certaine lassitude, oui, mais c'est sûr que c'est ce n'est plus. Bah comment dire la vague de média social en tant que nouveau phénomène est est passée. D'ailleurs, les médias sociaux vont pas disparaître, mais je veux dire, la télévision est arrêtée, est arrivée, la télévision couleur est arrivée. Bah c'était des nouveaux phénomènes. S'il y avait une certaine ********** après ça, bah c'est dans le paysage, c'est là bon ça veut pas dire que ça disparaît du jour au lendemain s'il y a une érosion, l'érosion peut être très longue.
Il y a encore pas mal de journaux papier qui sont distribués à des endroits, tu sais donc c'est des des des médias qui existent depuis 200 ans donc. Mais c'est sûr qu'il y a plus le le le même phénomène. Il y a aussi le fait probablement que il y a eu une certaine convergence des médias sociaux ou avant il y avait des médias sociaux vraiment très spécialisés sur différentes fonctions. Ça reste le.
Cas, mais on a vu entre beaucoup entre Méta et Tik Tok. Et puis il y a eu Snapchat aussi ou méta en fait, a imité tout le monde. Et puis Google imite aussi. Et puis maintenant, la vidéo verticale est sur au moins 3 ou 4 médias sociaux, c'est presque le le produit roi, donc ça fait.
Ça, je, je.
C'est plus difficile de devenir nouveau là au.
2, 5 quelques personnes qui nous ont répondu que que le qu'ils avaient.
Qui consommaient moins de médias sociaux, on leur a demandé pourquoi, pourquoi ? Pourquoi vous avez diminué votre consommation de médias sociaux ? Et là, il y a plusieurs résultats différents. Oui.
On a offert quelques choix bon et et, et c'est vraiment les contenus donc je n'y trouve pas de contenu intéressant à 63% et au même pourcentage. Il y a trop d irritants alors on avait mentionné les trolls, les publicités, les sollicités.
Donc, donc ces 2 ces 2 éléments parallèles.
Et et.
Je pense que dans le manque de contenu intéressant et puis on le voit après ça. Bon, on a reçu des parce que on on ouvrait aussi des des des espaces de commentaires, les.
Après les après les questions et puis c'est des choses qu'on entend-il y a une certaine déception. Je dirais de peut-être parce que il y a moins de nouveautés mais que bah de façon générale, le contenu qu'on voit dans les médias sociaux. Bah.
Hum hum.
Ça va pas en s'améliorant, il.
Y en a plutôt moins.
En tout cas, c'est une perception.
Bon Ben ma.
La perception devient la réalité avec avec, avec les réponses qu'on a au sondage.
Il y a un phénomène.
On voulait identifier avec avec cette ce sondage-là de de sobriété numérique parce qu'on a demandé combien est-ce qu'il y a de gens que qui ont réduit leur consommation de médias sociaux par choix, ils ont décidé de le faire dans un esprit de déconnexion, de sobriété numérique chez les jeunes et moins de 44 ans, 54% quand même l'ont fait par choix.
C'est beaucoup plus que les 45 ans et plus qu'ils sont à 33%, donc il y a quand même un petit phénomène qu'on est capable de voir là où les gens décident de s'éloigner des médias sociaux pour toutes sortes de raisons.
Effectivement, c'est c'est une décision consciente. Et puis on voit dans d'autres réponses au sondage que, particulièrement chez les jeunes, il y a une prise de conscience de certains travers des médias sociaux qui peut avoir un impact sur.
L'individu qui est quand même capable d'éteindre un appareil qui est capable de de fermer un compte, de ne plus aller le voir. Il y a des gens qui se prévalent de ce choix là. C'est un choix qu'on a et c'est encore plus facile que d'aller voter. Alors alors des des gens sont très belles et c'est c'est très bien.
Bah oui, norchet.
On a demandé aux gens, par ordre d'importance, de nous classer, qu'est-ce qui les préoccupait par rapport aux médias sociaux, donc leur source de préoccupation ? Et là, la désinformation, sans surprise, arrive en première place.
Bah sans surprise pour moi ça a été un petit peu une surprise. Honnêtement je je je au sens où la désinformation est quelque chose dont les médias parlent beaucoup.
Certaine. Ah oui, OKOK.
Et dont il a été beaucoup question aussi avec la décision de Méta, mais en même temps mon mon impression n'est quand même pas que les médias sociaux sont le premier endroit où la majorité des gens cherchent à aller s'informer, ils vont s'y informer aussi et et d'autre part, disons que au Québec, alors bon, bien sûr, il y a eu la, il y a eu quand même la COVID. Il y a eu des choses.
Liées au vaccin ou mais disons qu'on est pas dans le contexte américain ou dans le contexte de certains pays où la Russie a été très active où certains tu sais donc donc mais effectivement je constate que c'est c'est c'est le premier, c'est le premier facteur de préoccupation concernant les médias sociaux qui y est exprimé. C'est c'est les fake news après ça bah y a y a d'autres facteurs alors y a le le celui qui arrive en 2e c'est l'opacité des algorithmes et l'utilisation des données personnelles que peut faire le média social.
C'est le 2e, la 2e préoccupation.
Le vol d'identité, les fraudes, qui arrive en 3e, la présence de faux comptes aussi, donc c'est la la 3e, la 3e dans ce qui ne préoccupe pas tant que ça les gens. Moi j'étais surpris. Le caractère mercantile, l'omniprésence de la publicité, moi d'un héritant pour moi, mais ça a pas l'air d'être, ça arrive en avant-dernière position, là dans la la liste des préoccupations et la propriété étrangère des plateformes.
Que ce soit Tiktok qui géré depuis la Chine, ou des compagnies américaines, c'est la dernière préoccupation. Là, dans dans par ordre d'importance.
Prochaine prochaine dernière question, et là on entre un peu plus dans notre, dans, dans dans notre modèle d'affaires, dans un des questions pour valider des choses qui nous préoccupaient en tant que que créateur d'une nouvelle plateforme. De façon générale, auriez-vous de l'intérêt à adopter un nouveau média social considérant que dans les dans la liste là des médias sociaux qui étaient utilisés sur une base quotidienne, si on faisait, c'était à peu près les gens utilisent à peu près 2,5 médias sociaux actuellement sur une base quotidienne.
Attends, est-ce est-ce qu'il y a de la ?
Eh Ben.
Place pour un nouveau ? Ben oui, apparemment il y a pas de problème puisque 7 sur 10 disent qu'ils sont intéressés donc 70% ce qui est quand même une une une belle majorité. Bon ça laisse hein 30% qui lui est pas intéressé ? Il faut dire aussi que.
Bon, maintenant.
Il y a déjà des gens qui réduisent en ce moment leur utilisation des médias sociaux, alors peut-être que.
Bon, un nouveau média social qui répondrait à certains des problèmes qu'ils identifient dans les les médias sociaux actuels pourrait les les les pousser à revenir, mais enfin, ils sont plutôt dans une démarche de désintoxication. Donc donc.
Mais c'est un peu l'esprit de la de la dernière question, qu'est-ce que vous aimeriez retrouver dans ce nouveau média social ? Pourquoi vous ? Qu'est-ce qui vous convaincrait dans le fond à adopter ce nouveau média social ?
Et là, la réponse numéro un, c'est si je peux y trouver de l'information, des actualités et des contenus de qualité, ça revient, c'est vraiment là, c'est 94% là.
La réponse numéro.
Un oui et puis c'est très cohérent, donc parce qu'on a vu tout à l'heure qui sont les utilisations actuelles qu'ils font des des.
Médias sociaux et un des problèmes qu'ils ont identifié qui est le fait que le contenu.
Ils perçoivent qu'il est de moins en moins intéressant, donc effectivement c'est un contenu intéressant d'information d'actualité, mais plus, plus, plus, plus, plus général que ça aussi probablement qui les intéresse. C'est la première chose.
La 2e, C'est encadrer sérieusement le harcèlement, la haine en ligne, la désinformation. Sauf qu'il y a des on en a beaucoup parlé encore une fois dans les médias, à quel point les grands.
Les géants numériques ont de la misère à à à encadrer ces ces, ces ces ces choses là, c'est ce qu'on demande à un nouveau média social qui soit capable de de faire ce travail là.
Ouais, je pense que les gens veulent un espace dans lequel ils se sentent en sécurité d'un point de vue numérique, même s'ils sont derrière un écran, ils ne veulent pas risquer de se faire insulter, de se faire harceler.
De se faire aussi Ben voler ou en tout cas d'avoir leurs données qui sont utilisées même si c'est une autre question puisque c'était le 3e, la.
La, la, LA, la.
La, la 3e motivation, c'est si les données restent privées, ce serait une une autre. La 3e motivation à utiliser un nouveau média social ? Je mets un peu les 2 en lien, même s'ils se sont séparés, mais dans un espace, c'est ça ou en sens sécurité.
Merci beaucoup Patrick d'avoir pris le temps d'analyser. Ce sont les résultats de ce sondage avec moi aujourd'hui.
On a, je pense, plusieurs clés, plusieurs indices qui nous confortent où nous découragent dans certaines décisions qu'on pourrait prendre pour la création de ce futur média social. Et en plus, ces dernières semaines, on a décrit le projet dans son ensemble dans les contours du projet. Si je pourrais dire projet qu'on a appelé un média social de partage de contenu géré en mode coopératif ? Donc c'est une coopérative qu'on imagine.
Enfin, c'est.
Trouver un titre un peu plus catchy, là pour pour ce projet là, mais donc on a dessiné les contours du projet, les grands paramètres et on s'est doté d'une feuille de route. Patrick, Tu l'as proposé cette feuille de route là pour les prochaines étapes ? Pourrais tu nous la ?
Présenter Ben écoute grosso modo, c'est que il faut élargir un petit peu, donc là nous on a avancé beaucoup à 3 personnes. D'autre part, on se nourrit évidemment de ce qu'on voit de l'extérieur et le sondage était là pour nous nourrir.
Et maintenant entre les 2, bah ce qu'il faut c'est voir quels sont les autres personnes qui sont intéressées à participer au projet activement à donner un peu du temps, donner de leur tête, de leurs idées, de leurs contacts. Et donc pour ça une des une des une des idées c'est de mettre en place des comités de travail sur des chantiers, des domaines qui sont un petit peu plus, plus, plus spécialisés. On en a identifié 3 un qui est au niveau du produit.
Et des utilisateurs donc bah ce média social ça le devrait ressembler à quoi ça va faire quoi ?
Pour qui y a tu une demande pour ça ? Pourquoi YAT il des demandes ? Par quoi faut-il commencer et quelles peuvent être les ressources pour faire ça ? Est-ce qu'on fait ça l'interne ? Comment ça peut s'envisager dans un cadre coopératif à but non lucratif ? Donc ça c'est vraiment le produit autour du produit, une autre dimension qui est plus, je dirais, stratégique.
Corporative, un petit peu à faire bon Ben il va nous falloir quelque soit l'organisation ou le mode, même si c'est à but non lucratif, il faut des revenus, il va y avoir des dépenses à gérer, il faut une structure juridique, il faut s'organiser. Il faut voir aussi quelles peuvent être les sources de financement, notamment en termes de subventions, crédit d'impôt, dons. Alors explorer cette partie là, ça ce serait un un 2e comité de travail autour des des des affaires, de la stratégie, de la gouvernance aussi.
Et pardon, affaire et stratégie. Et puis le 3e comité, bah là c'est plus pour. Je dirais s'assurer d'avoir parce que ce qu'on veut avec ce projet là c'est avoir un impact positif pour la société, pour les gens, pour la culture, pour l'information, la qualité de l'information et du contenu.
Et donc il faut des gens qui s'intéressent à ça, mais qui s'y intéressent d'une façon active. Donc là on pense à un comité de gouvernance, d'éthique et de transparence, donc des gens qui vont nous permettre de réfléchir et et de voir comment on peut respecter ces objectifs là. Mais dans les contraintes de la réalité. Donc il s'agit pas juste d'établir des grands principes et puis de dire tout ce qu'on ne peut pas faire. Il faut aussi voir ce qu'on peut faire, ce qu'il faut faire et comment le faire.
Pour être le plus authentique possible, le plus transparent possible, mais sachant que on vit dans la vraie vie, donc c'est un 3e comité.
On veut être en place et puis c'est ça, ce serait, c'est c'est les les les 3 principaux comités de travail. Ces comités peuvent être divisés en cellules parce que évidemment, comme on voit, ils vont couvrir beaucoup de. Le champ est est vaste, donc il peut y avoir des plus petites cellules qui à l'intérieur des comités bah se concentrent avec des petits groupes pour pouvoir avancer de façon agile sur des sujets plus, plus, plus, plus spécifiques. Et puis au-dessus. Bah un comité de pilotage qui qui bah à partir des 3 personnes qui sont là qui vont essayer de faire coordonner.
Évolue pas, ouais.
Un peu tout ça et puis faire avancer ça à l'étape suivante.
L'étape suivante étant, bah de devenir une une, une vraie structure.
Qui est capable à ce moment-là de de d'avoir des ressources et d'avoir ressources financières ressources humaines pour faire avancer un vrai produit et donc on va faire ça en parallèle avec le fait de consulter aussi des.
Les parties, ce qu'on appellerait les parties prenantes qui sont en fait quelques organisations des organisations dans le domaine des médias, notamment des futurs membres de de type corporatif ou de type média, des producteurs de contenu. On va commencer aussi bientôt.
Sur membre dans le fond de cette coopérative.
À commencer à penser au gouvernement, voir quelles sont les les parce que il y a, il y a, c'est sûr que ça va faire partie de.
De, de, de, de l'équation des choses qu'on va regarder dans dans le financement de voir que ce qui est possible et donc c'est comme ça qu'on qu'on qu'on souhaite faire avancer le projet.
Donc voilà, c'est la phase 0, donc c'est vraiment la phase d'élaboration. Comment l'entreprise n'est pas l'organisation n'est.
Mais on a besoin de gens, on a besoin de tête.
Pour l'élaborer, pour coucher sur papier tout ce projet là et d'éliminer toutes les questions qui surgissent. Parce que juste pour faire notre petit document qu'on a fait, on a eu quand même pas mal de discussions, puis de de différentes versions pour préciser certains points. Il va y en avoir encore ou beaucoup de ce travail là d'élaboration avant qu'on soit prêt à lancer la patente. Donc voilà, c'est et là je lance l'invitation à tout le monde. Si vous connaissez des gens, si vous avez envie de vous impliquer.
Communiquez avec nous dans l'infolettre de du Balado, vous allez trouver un lien vers le.
De Cuba et un lien aussi vers un formulaire pour manifester votre intérêt à participer à ce beau projet là. Et puis on va peut être avoir l'occasion de de se parler dans les prochaines semaines, peut être même au micro de se balader. Donc voilà c'est c'est parti.
Merci beaucoup Patrick pour ton temps aujourd'hui et merci on se reparle bientôt.
Steve, toujours un plaisir à bientôt.
Voilà, c'est tout pour cet épisode de la nouvelle place, la nouvelle place est un balado qui veut provoquer des réflexions et des actions pour en arriver à se doter d'une nouvelle place, d'un nouvel espace public en ligne qui serait pas la propriété d'un géant numérique et qui serait là pour le bien commun. Pour ne pas manquer nos épisodes, suivez ce balado dans votre plateforme d'écoute.
Préféré, on a aussi une infolettre et C'est d'ailleurs dans cette infolettre que vous allez trouver le document qui présente le projet de média social coopératif qu'on est en train de créer en ce moment. Si vous voulez mettre la main à la pâte, donnez vos.
Ou participez.
À au comité de travail, au comité de pilotage qu'on est en train de mettre sur pied. Allez lire ça, donnez-nous vos commentaires. Postulez dans les prochaines semaines. On va organiser une équipe comme ça qui va être capable de faire émerger du néant.
Ce média social québécois pour vous abonner en allant sur notre site web sur nouvelle place, point.
CA pour ce je vous dis au prochain épisode, mon nom est Steve Proulx. Merci.
Été là à très bientôt.